Certaines musiques déclenchent des images immédiates. Comme un rêve éveillé, une vision fugace qui s’impose. En réécoutant Breathe du groupe Mehari, j’ai ressenti ce moment suspendu, où tout devient visuel. J’ai eu envie de transformer ce ressenti en récit. Le défi : réaliser un clip en 48 heures, uniquement à l’aide d’outils IA.

BREATH

L’ÉMOTION DEVIENT IMAGE.

Mais l’essentiel n’était pas dans la performance. Il était dans l’émotion. Comment rendre visible ce que l’on ressent sans le dénaturer ?
Le clip a depuis été sélectionné dans plusieurs festivals IA internationaux, et notamment nommé en demi-finale du Omni IA Festival. Une reconnaissance marquante pour un projet né d’une impulsion spontanée, mais pensé avec exigence.